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Oui, la rédaction web est l’un des principaux nerfs de la guerre pour remonter sur Google ! « Remonter » dans le sens premiers résultats des moteurs de recherche, lorsqu’un utilisateur saisit une requête.

Mais Google, qui constitue le plus gros média du web (au passage, alimenté par vos contenus !), fonctionne avec de puissants algorithmes, et une logique « d’interprétation » qu’il est utile de connaître lorsqu’on se lance dans la rédaction web.

Vous souhaitez écrire sur vos passions, partager des émotions, transmettre votre savoir à vos lecteurs… rédiger sur le web est toujours une expérience enrichissante. Au début vous vous sentirez un peu perdu, mais très vite vous trouverez votre style, votre rythme d’écriture, et avec le temps vous y prendrez beaucoup de plaisir.

Le SEO tu travailleras

Lorsqu’on se lance dans le blogging, il est nécessaire de comprendre comment structurer ses articles de blog. Structurer un article revient à l’optimiser pour les moteurs de recherche. Et quoi de plus encourageant, lorsqu’on alimente quotidiennement un blog, de voir petit à petit ses articles remonter sur Google !

Rédiger pour le web s’inscrit dans une démarche de référencement naturel. Un soin particulier apporté à vos contenus qui va booster votre SEO, et vous faire gagner en visibilité. On peut tout à fait optimiser son SEO à titre personnel pour son blog, à condition de connaître les bases, ou confier cette mission à une agence.

Dans les deux cas, gardez à l’esprit que le SEO n’est pas une science exacte. Vous devrez vous armer de patience et de persévérance afin d’obtenir des résultats significatifs.

Le titre de ton article tu soigneras

C’est la première chose qu’on lit d’un article, mais bien souvent la dernière écrite par le rédacteur ! Un article traite d’un sujet, d’une thématique. En le rédigeant, les idées naissent et disparaissent, on modifie une partie, on complète une autre… Le titre d’un article est en quelque sorte l’élément « fédérateur », celui qui va unir et résumer vos idées, de manière très concise.

Il doit être pertinent, donner envie d’aller plus loin. Mais surtout répondre au besoin des lecteurs. Sans oublier de mentionner votre mot-clé principal. Pour ceux qui se lancent, vous verrez que l’exercice du titre n’est pas si évident !

Les balises h1 à h6 tu nourriras

La rédaction d’un article doit respecter une certaine hiérarchie d’informations. Un peu comme la table des matières d’un livre, constitué de titres, sous-titres, sous-sous-titres… Google, en scannant les pages à longueur de journée, adore les contenus hiérarchisés. Ils sont plus « clairs » pour ses robots, lui demandent moins de travail, du coup il les valorise.

Balise h1 : balise essentielle ! Lorsqu’elle est bien pensée, elle introduit logiquement les contenus qui la suivent. Elle doit donc résumer au mieux le sujet principal, qu’il s’agisse d’une page ou d’un article. Il n’y en a qu’une par page et par article. Son « poids » en terme de référencement est très important. La balise h1 doit bien sûr contenir votre mot-clé principal.

Le contenu d’une balise h1 sera plus important que celui d’une balise h2, lui-même plus important que celui d’une balise h3, et ainsi de suite. Vous pouvez paramétrer cette balise h1 manuellement, mais dans la plupart des cas, vos titres de pages ou d’articles le seront automatiquement.

Les mots-clés principaux tu étudieras

Dans vos contenus, vous devez apprendre à distinguer le mot-clé principal de la longue traine. Un mot-clé générique résumé dans son plus simple appareil, consiste au mot-clé qui est tapé par un internaute sur les moteurs de recherche. Plus ce mot-clé est dit « concurrentiel » (exemple : agence web), plus vous aurez du mal à vous positionner dans les premiers résultats.

La longue traine représente un ensemble de mots permettant d’affiner la recherche autour du mot-clé principal. C’est une véritable stratégie que de se positionner efficacement sur ces résultats.

Par exemple :
– Mot-clé générique : agence web
– Longue traine (expression-clé) : agence web d’inbound marketing à Paris

En vous positionnant sur des requêtes plus précises, vous réduirez les risques d’être noyé dans les millions de résultats Google, et vous augmenterez vos chances d’avoir du trafic plus ciblé (réponse à un besoin).

Le champ lexical tu optimiseras

Vos contenus gravitent autour d’une ou plusieurs thématiques, d’où le choix pertinent du mot-clé. Mais il ne s’agit pas de répéter ce mot-clé en boucle dans vos contenus. D’une part, Google n’aime pas ça, de l’autre, vos lecteurs risquent d’en avoir mal à la tête ! Vous devez optimiser vos contenus en tenant compte du champ lexical. En rédaction web, le champ lexical constitue les autres mots et expressions qui appartiennent au même univers.

Si on reprend l’exemple du dessus :
– Champ lexical : web marketing, marketing automation, génération de leads, lead-generation, SEO, référencement naturel, SEA, SEM etc…

En soignant votre champ lexical, accompagné du bon mot-clé, vous donnerez plus de pistes à Google dans ses analyses pour comprendre dans quel univers se situe vos contenus. Si vous écrivez sur vos passions, l’exercice sera facile et naturel.

Des images dans tes textes tu ajouteras

Personne n’a envie de lire de gros pavés sans une touche visuelle ! Le visuel améliore non seulement le référencement, car les images possèdent aussi des balises (texte alternatif), mais permet également de faire souffler vos lecteurs. En entrecoupant vos contenus d’images, vous fluidifier la lecture, et mettez mieux en avant certains propos.

Les images, dans la rédaction web, permettent de faire passer des émotions plus rapidement. Ou tout simplement de faire une pause détente dans la lecture…

La longueur des articles tu te méfieras

En rédaction web, s’il est nécessaire de connaître ses lecteurs pour leur proposer des sujets intéressants dont ils ont besoin, il est aussi utile de connaître leurs habitudes. Par exemple, si vous avez plus de lecteurs sur mobile que desktop, vous aurez tendance à privilégier des contenus courts, et inversement.

La taille des articles est un vrai débat. D’un point de vue référencement, un article plus conséquent contient plus de mots-clés, donc à plus de chances de remonter dans les résultats des moteurs de recherche. En moyenne, un article est estimé long lorsqu’il dépasse les 1000 mots. Les articles que l’on retrouve sur le web se situent (en règle générale) aux alentours des 500-700 mots.

Tout dépend de votre audience. Certains lecteurs préfèrent consommer du contenu rapide, d’autres du contenu plus long. Mais aussi du temps que vous avez à accorder pour la rédaction de vos articles.

La technique tu maîtriseras

Si vous commencez dans le blogging sous wordpress, vous aurez besoin du plugin Yoast SEO. Très utilisé et apprécié par les rédacteurs, Yoast analyse vos contenus et vous guide vers leur optimisation, notamment en matière de : lisibilité, mot-clé, liens externes, images… jusqu’à la méta description.

La balise méta description concerne les champs qui sont visibles sur les résultats des moteurs de recherche, lorsque l’internaute tape sa requête. A vous de lui donner envie de cliquer sur votre article pour en savoir plus. La balise méta description bien renseignée peut faire la différence au niveau des clics…

On peut en dire encore beaucoup sur la rédaction web, il existe même de nombreux livres autour du sujets. Nous vous avons résumé les principaux éléments à connaître lorsque vous écrivez sur le web, pour structurer vos articles afin qu’ils remontent sur Google. Vos contenus doivent être hiérarchisés, contenir des mots-clés principaux et expressions de longue traine, le tout regroupé dans un univers (champ lexical) avec des images pour fluidifier la lecture. Bon courage !

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